Billet

Nuits sur Raviere

 

Un an après la fin de Querelle(S), journal intime fantasmatique paru sur le blog du même nom entre 2007 et 2011, j’ai entrepris l’écriture d’un journal plus traditionnel intitulé Nuits sur Raviere, en hommage à cette ville que je traversais parfois, la nuit, lorsque je rentrais à Dijon.
 

La rédaction de ce journal a commencé le 2 octobre 2012. Plus immédiat et sporadique, axé sur la pensée plus que sur la narration, sur l’observation plus que sur le symbole, il n’a jamais fait l’objet d’une parution sur un blog. Le renaissance du site (un peu comme un phénix) permettra de remédier à cela puisqu’il sera proposé, au fur et à mesure de son écriture, de nombreux extraits et ce, dès le premier juillet.
 

Quant à Querelle(S), vous pouvez toujours retrouver l’intégrale en trois tomes sur Thebookedition. Il suffit, pour cela, de cliquer sur les couvertures suivantes :
 

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L'Amer Calmé
juillet 31st, 2014 at 2:01

Page bookmarkée, ou plutôt bouquins-marquée, car je souhaiterais me taper TROIS Nico Ravière en ce mois-charnière.

Gourmand que je suis.

J’attends juste d’être dans ma maison, puisque dans cet immeuble, ma BAL ne ferme pas à clé, n’est pas aux normes, et on me pique des colis, même les CHICK LITT de chez France-Loisirs, c’est pour te dire.

juillet 31st, 2014 at 6:24

Trois ? Comme c’est curieux ! Un pour chaque oeil ? Ou plutôt la trilogie, j’imagine. C’est marrant mon homonyme souhaite justement se la réserver pour la fin. C’est, il est vrai, avec du recul, le gros morceau.

Hum ce problème de boîte aux lettres, je connais ça avec mes Rapetou de voisins avec qui, mystères urbains et promiscuité malsaine, je la partage. Comme me l’a si bien conseillé un agent de police auprès duquel j’ai déposé une main courante pas très vive : « vous n’avez qu’à vous faire livrer ailleurs, à la campagne par exemple, chez vos parents » (drôle de suggestion, totalement erronée).
Je doute que mes parents puissent recevoir du courrier là où ils sont. Déjà que les facteurs n’arrivent même pas à gravir trois étages et me disent systématiquement absent de mon domicile. Niveau humour, ils rivalisent presque avec le Pôle Emploi.

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